Hypnose ericksonienne : une méthode pour trouver ses propres solutions

Dans la technique de l’hypnose ericksonienne, le patient voit sa conscience légèrement modifiée et ce, dans un but spécifique. Cette approche, qui a fait ses preuves sur les dépendances et les angoisses, tire son nom de son créateur Milton H. Erickson, un psychiatre américain qui a vécu au XXe siècle, décédé en 1980.

Quelle différence avec l’hypnose classique ?

La technique mise au point par Erickson se différencie de l’hypnose traditionnelle. Cette dernière repose sur des suggestions directes prononcées par l’hypnotiseur tandis que le patient reste passif. Avec l’hypnose ericksonienne, c’est le patient lui-même qui, guidé par le langage hypnotique, va accéder à ses ressources intérieures en parvenant à un état similaire à la rêverie, sans stress et privé de pensées négatives. Ainsi, le patient occupe une place active et l’hypnotiseur est plus en retrait que dans l’hypnose directive. Pour que la séance fonctionne, le patient doit être actif, écouter les suggestions du thérapeute et élaborer ses propres solutions.

Quels résultats pour l’hypnose ericksonienne ?

Pour Erickson, la réussite d’une séance d’hypnose repose sur la participation du patient. Il devient acteur de sa guérison. En explorant son inconscient dans l’état de relaxation généré par l’hypnose, c’est lui qui va expérimenter diverses situations imaginaires proposées par l’hypnotiseur et ainsi provoquer un changement intérieur. Lors de la séance, le patient peut aussi se concentrer sur un évènement du passé qu’il a vécu de manière positive et qui comporte une forte charge émotionnelle. En procédant de cette façon, il va intégrer le fait qu’il est capable de progresser et d’apprendre pour réussir à dépasser les situations de blocage. En tout état de cause, les séances permettent au patient de développer ses capacités d’adaptation, capacités qui sont en réalité présentes en lui, mais étouffées pour diverses raisons. L’hypnose ericksonienne travaille particulièrement sur les résistances de certaines personnes en abordant et facilitant le « lâcher prise ».

Quelles sont les indications ?

Cette méthode est recommandée dans de nombreux domaines comme la dépression, l’anxiété et l’angoisse. Elle s’avère également utile pour lutter contre l’insomnie, les phobies ou d’autres troubles psychosomatiques. Les contre-indications sont quasiment inexistantes, si ce n’est les troubles de la personnalité, telle que la paranoïa.

L’hypnose ericksonienne s’inscrit dans le courant des thérapies brèves et des thérapies orientées solutions.

Crédit photo : Bagoue GG

Quelles indications pour les thérapies brèves ?

Les indications thérapeutiques de l’hypnose

Les symptômes des problèmes structurels les plus communs chez l’homme, comme les phobies, les allergies, le stress et les troubles compulsifs peuvent parfaitement être traités avec l’hypnose Ericksonienne ainsi que par l’hypnose dans une définition plus générale. Pour ce faire, le thérapeute va amener son patient dans un état modifié de conscience, ce qui rendra son inconscient plus accessible. Par la suite, le thérapeute va émettre des suggestions (parfois décidées au préalable avec le patient) pour induire dans l’esprit de celui-ci l’idée qu’il peut changer les choses et améliorer sa vie. Le thérapeute n’est qu’un guide. Pour des problèmes complexes, le recours à des méthodes différentes utilisées en synergie peut apporter un résultat. C’est le thérapeute ou psychopraticien qui, en fonction de sa connaissance du patient et de son expérience, de sa maîtrise des techniques d’approche et de son intuition propose au patient la prise en charge qu’il juge la plus adaptée.

L’EMDR : pour quelles symptômes ?

L’EMDR, en tant que thérapie s’adresse aux enfants et aux adultes victimes de traumatismes, d’événements pénibles, d’addictions aux produits narcotiques. Les indications peuvent également inclure des attaques de panique, des troubles obsessionnels compulsifs, des troubles psychosomatiques et de dépression. Quel que soit le profil du patient, l’EMDR apparaît comme une solution dès lors qu’il est psychologiquement instable. Il faut cependant noter que cette thérapie possède quelques contre-indications. L’EMDR, tout comme d’autres approches thérapeutiques brèves ou longues, n’est pas recommandé aux personnes qui sont atteintes de psychoses, les suicidaires ou les personnes qui souffrent de troubles cardiaques. Mais au final, c’est au thérapeute d’évaluer si un patient a besoin ou non de cette thérapie.

La Programmation neurolinguistique (PNL) et ses indications

La psychothérapie est la première indication de la programmation neurolinguistique. D’emblée, on peut rappeler que les protocoles utilisés dans la PNL résultent avant tout des observations des grands thérapeutes qui ont appartenu à différentes écoles de sciences humaines. Historiquement, la PNL n’a été d’abord utilisée que dans le champ de la psychothérapie, et cela a permis aux précurseurs de la discipline, John Grinder et Richard Bandler, de trouver des réponses à certaines phobies. Aujourd’hui, les applications de cette discipline se sont bien étendues. Les psychothérapeutes en programmation neurolinguistique apportent aux patients des solutions qui loin d’être toutes faites, les amènent à fournir un travail psychologique plus soutenu s’ils souhaitent renouer avec l’équilibre.

Crédit photo : Pascal Courtaud

La PNL : les fondamentaux

La PNL (Programmation Neuro Linguistique) est une méthode thérapeutique faisant partie des thérapies brèves. Axée sur le langage et la communication, elle s’attarde non pas sur les causes des problèmes du patient mais sur le comment il les perçoit et comment il se perçoit vis à vis d’eux et par rapport au monde qui l’entoure. Le champ d’action de la PNL est large et intervient pour de nombreux troubles.

Histoire et méthode

Fondée dans les années 70 par le linguiste John Grinder et le mathématicien et thérapeute Richard Bnadler, la PNL s’est formée à partir de deux autres méthodes thérapeutiques (la gestalt-thérapie de Fritz Perl et l’hypnose de Milton Erikson). Tirant en quelque sorte le meilleur de ces deux thérapies, Grinder et Bandler ont ainsi mis au point une méthode inédite alliant éléments du langage et plasticité du cerveau afin d’apporter une réponse au problèmes présentés par les personnes en difficultés.

La méthode consiste dans un premier temps à faire identifier par le patient ses propres motivations (par exemple mieux dormir, perdre du poids, être moins sur la défensive avec les autres) puis de se fixer des objectifs cohérents pour chaque séances mais également entre les séances. Le thérapeute observe ainsi le patient dans son comportement à exprimer ses besoins au niveau du langage et l’invite par ailleurs à exprimer par ses sens sa perception de son problèmes.

Dans un second temps, le thérapeute amène le patient à exploiter ses ressources inconscientes liées à sa propre histoire, ses expériences et reprendre ainsi contact avec ses dispositions naturelles lui permettant de réussir ce qu’il entreprends. Il s’agit ici pour le thérapeute de permettre au patient de créer un modèle qu’il va pouvoir mettre en œuvre afin d’atteindre son objectif.

Indications, contre indications et durée

La PNL est adaptée aux problèmes ponctuels (deuil, sommeil, surpoids, stress des examens), aux somatisations liées à des problèmes de santé ainsi qu’aux troubles de l’identité et des relations humaines. Elle est conte-indiquée pour les personnes souffrant de troubles relevant de la psychiatrie. Les séances peuvent varier entre seulement deux et une prise en charge plus intensive.

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La thérapie brève orientée solution

Thérapie orientée solutionPsychothérapie en vogue depuis plusieurs années, la thérapie brève orientée solution mérite d’être mieux connue, notamment par les personnes intéressées par une démarche thérapeutique. Les précurseurs sont Steve de Shazer et son épouse Insoo Kim Berg, deux thérapeutes américains ayant vécu dans la deuxième moitié du 20e siècle.

La thérapie brève centrée sur les solutions : définition

La thérapie brève orientée solution renverse l’approche habituelle qu’on trouve dans les psychothérapies classiques par rapport à une problématique. Plutôt que de chercher à comprendre la logique d’un dysfonctionnement, sa cause, son histoire, ses interactions avec l’environnement, on cherche à « faire différemment » et à faire élaborer une solution par le patient, misant sur ses ressources intuitives et inconscientes et sur des pratiques.

Basée à l’origine sur les travaux sur la communication de Milton Erickson, cette méthode aide la personne à imaginer un futur plus prometteur, plus clair. Elle consiste à l’accompagner pour atteindre cet objectif et à développer une image positive de sa situation après la résolution du problème.

Les points forts

Contrairement aux autres méthodes de psychothérapie actuelles, la thérapie brève orientée vers les solutions ne requiert pas un diagnostic des symptômes et des causes. En l’occurrence, cette méthode de psychothérapie nécessite de se tourner vers le changement, inévitable face aux problèmes rencontrés. Dans tous les cas, cette discipline n’analyse pas le passé, mais cherche dans le présent les efforts qu’il est possible de produire pour optimiser au maximum l’avenir. La personne est un acteur majeur dans sa propre thérapie. La démarche révèle les points forts de chaque patient, les exploite pour l’orienter vers la liberté et vers une plus grande confiance en soi.

Pratique de la thérapie brève orientée solutions

Le thérapeute aide les patients en leur offrant une ambiance propice, incluant écoute et bienveillance. Ce climat permet de se libérer de ses difficultés et de ses souffrances. Les patients ont l’opportunité de découvrir leur ressources et de les exploiter afin d’optimiser la gestion de leurs états émotionnels. À travers cette thérapie douce, les patients peuvent affronter la vie plus sereinement et aborder le changement par étapes progressives jusqu’à l’objectif désiré.

Pour la réalisation de la thérapie, différents outils sont à la disposition du psychothérapeute : il peut faire appel à l’hypnose ericksonienne, à la PNL (Programmation Neurolinguistique) ou aux mouvements oculaires (EMDR).

Des principes clés

Pour réussir la thérapie brève orientée solution, trois principes méritent d’être observés. Le premier consiste à ne pas réparer ce qui n’est pas cassé. Cela signifie qu’un comportement peut gêner une personne sans pour autant constituer un symptôme à éliminer. Le psychopraticien peut simplement aider la personne à changer son regard sur elle-même pour réaliser une acceptation et un non-agir salutaire. Le second est de continuer la démarche qui réussit et même de la poursuivre, de la répéter, car le changement survient à l’aide d’efforts minimes reconduits jusqu’à satisfaction. Le dernier consiste à changer d’orientation si des efforts pour guérir n’ont pas payé : pourquoi s’obstiner dans une voie qui n’apporte pas ce que l’on souhaite ? Le bon sens indique de se tourner vers autre chose ou vers une autre approche.

Grâce à cette méthode pragmatique et intuitive, les patients parviennent à mieux se connaître, à se comprendre et à prendre du recul. Ils sont aptes à agir pour être l’acteur des changements profitables dans leur vie, et à faire face à l’avenir sans peur ni angoisse.

Le processus de changement dans la thérapie brève

Thérapie brève à AixLa thérapie brève, malgré son avènement il y a quarante années, continue de susciter des réactions dubitatives dans le grand public. Dans le cadre de ces thérapies, le traitement d’un patient qui souffre de troubles cognitifs, psychiques ou, dans certains cas, psychiatriques, s’effectue en un nombre réduit de séances au maximum, et ce, même si chaque rencontre dure un temps limité.

Comment est-ce possible, alors que les thérapies dites « classiques » proposent des séances pouvant durer quelques heures ou s’étalant sur plusieurs années ? C’est que les techniques utilisées recèle une approche du client fondamentalement différente, aussi bien dans leur façon d’appréhender les difficultés et les troubles que dans la confiance accordée au client pour son changement interne, par la voie d’une réorganisation perceptive prônée par exemple par Milton Erickson et Carl Rogers.

L’essor des pratiques hypnotiques

Un patient opte pour la thérapie brève dans le but de se défaire d’un dysfonctionnement dont il souffre ou qui le bloque dans ses relations professionnelles ou privées. Après l’avoir écouté, son thérapeute analysera sa situation et fera en sorte qu’il la considère sous une autre perspective. Il l’accompagnera également dans l’application des solutions dont le client prend conscience lui-même à l’issue des conversations qu’ils ont eues ensemble. Le psychopraticien (thérapeute spécialiste de la psychothérapie) fera aussi en sorte que son client arrive à faire tomber les barrières qui l’empêchaient de la mettre en pratique. Tous ces processus vont être principalement menés dans le cadre d’un échange hypnotique qui s’adresse directement à l’inconscient du client et enrichit sa perception de son dysfonctionnement.

La parole et la rhétorique, au cœur de la thérapie brève

Le psychopraticien utilisera différentes approches que sont l’hypnose ericksonienne, l’EMDR, techniques aujourd’hui éprouvées auprès de nombreux patients. D’une manière générale, le thérapeute aborde son client avec l’hypnose conversationnelle, c’est-à-dire qu’il emploiera des mots adaptés pour prendre contact avec lui par-delà son conscient. Il lui fera comprendre la situation dans laquelle il se trouve et de laquelle il veut sortir. C’est en choisissant bien ses mots et en formulant son discours d’une certaine manière qu’il déclenchera le changement auprès de son patient.

La qualité de la relation est primordiale. Elle détermine en grande partie le processus d’ouverture que va connaître le client et le résultat de sa thérapie. Le client prendra compte des résolutions à suivre pour se dégager de sa condition, afin de retrouver un bien-être psychique et comportemental. Le rôle du psychopraticien consistera à l’aider à se restructurer par lui-même, pour que le facteur inconscient qui causait ses troubles ne prenne plus le dessus sur sa vie.

À l’issue de la thérapie, un délai de 6 mois à un an s’écoule pour que le patient puisse donner un retour sur les changements perceptibles dans sa situation. Il pourra ensuite conclure qu’il a pu se réorganiser après les séances et conversations qu’il a eues avec son thérapeute et qu’il a retrouvé une sérénité parfaite dans son quotidien.

Source : Article du site Mieux Etre

PNL : modéliser les stratégies de changement et de réussite

La Programmation Neurolinguistique (PNL) est une méthodologie regroupant les techniques de communication et de transformation de soi. Cette action vise à améliorer les comportements d’un individu par le biais du langage.

Ce procédé psychologique a été élaboré grâce à la collaboration du psychologue Richard Bandler et du linguiste John Grinder, en 1970 aux Etats-Unis. Il s’agit d’un acte psychothérapeutique basé sur la communication.

La mise en œuvre du procédé

Le PNL figure parmi les thérapies brèves. Durant la consultation d’entretien, le patient définit ses motivations et ses objectifs. Le thérapeute observe son client, de manière à pouvoir choisir le système sensoriel adapté, visuel, auditif ou kinesthésique. Il s’agit donc de déterminer le système en fonction de la perception du patient, par la vue, l’ouïe ou les émotions. Ensuite, une fois ce procédé mis en place, les séances servent à guider le patient à explorer ses comportements, les reproduire ou les corriger au besoin.

Indications et contre-indications de la PNL

La PNL s’adresse aux patients pour la résolution des problèmes ponctuels, après la perte d’un proche, une rupture, un échec, ou à la veille d’un examen. Il est aussi efficace pour affronter des soucis de santé, et des troubles émotionnels et d’identité. La plupart du temps, ces outils sont intégrés dans le processus global du thérapeute. Cette thérapie n’a pas de contre-indications sauf si le patient présente un cas de troubles graves de la personnalité. Dans ce cas, le traitement relève de la psychiatrie.

Coût et durée de traitement de la PNL

Le traitement est en principe hebdomadaire, à raison de 45 minutes à 1 heure par séance. Les deux parties conviennent souvent du nombre de séances en début de thérapie, et ce contrat de départ peut être renouvelé en cas de besoin.

Séances de PNL au cabinet d’Isabelle Genuys : En savoir plus

Une chercheuse lyonnaise lance une étude scientifique sur l’hypnose

Une étude scientifique sur l’hypnose à Lyon

Prisca Bauer, spécialiste au Centre de Recherche en Neuroscience de Lyon, va plancher sur une étude qui portera plus spécialement sur la différence entre la méditation et l’hypnose.


Les pratiques sont certes différentes. Ce qu’on peut constater, c’est que l’hypnose, une méthode datant du début du 18e siècle, est toujours d’actualité et toujours un sujet d’étude et de pratique.

Qu’est-ce que l’hypnose et comment intervient-elle ?

Qu’est-ce que l’hypnose peut soigner ?

La vie d’un individu est parfois semée de périodes au cours desquelles il se sent en difficulté, pour des raisons personnelles qui affectent sa sphère privée et relationnelle et qui peuvent aussi rejaillir sur sa sphère professionnelle :  il se sent « en panne ». Tout au long de l’existence surviennent ces turbulences, susceptibles de générer des fragilités psychologiques, qu’il est nécessaire de prendre au sérieux et de traiter rapidement. L’hypnose est une solution de plus en plus reconnue dans le milieu médical.

Les raisons sont multiples pour consulter un hypnothérapeute. Deuil, burn out, stress, surmenage, nombreux sont les problèmes qui peuvent être traités par cette méthode thérapeutique. L’hypnose permet de prendre du recul, de plonger dans son inconscient pour trouver de nouvelles orientations et découvrir des solutions. C’est aussi redessiner de nouveaux schémas de vie.

Comment l’hypnose agit-elle ?

L’état induit par le thérapeute, entre éveil et sommeil, favorise l’introspection et offre le terreau idéal pour déterminer de nouveaux choix. Mais pour y parvenir, il est d’abord nécessaire d’amener le patient à un état de détente optimale en l’invitant à respirer de façon régulière et reposante. La relaxation de l’esprit ne se fera qu’après un relâchement musculaire. L’état d’hypnose est la phase thérapeutique où le consultant  – doté de sa compétence et de son expérience – cerne l’étendue des problèmes. Puis apporte des suggestions, donne des choix, de nouvelles ressources

L’hypnose ericksonienne

« L’hypnose, c’est une relation pleine de vie qui a lieu dans une personne et qui est suscitée par la chaleur d’une autre personne. » Milton Erickson.

L’hypnose éricksonienne, adoptée aujourd’hui par de nombreux thérapeutes, se présente légèrement différemment de l’hypnose traditionnelle. Elle demande une participation active du patient qui trouvera lui-même les solutions pour résoudre ses problèmes.

Forte de nombreuses validations scientifiques, qui démontrent l’activation neuronale produite par une séance et les effets bénéfiques qui en résultent, l’hypnose ericksonienne a trouvé sa place parmi l’arsenal thérapeutique des approches psycho-corporelles et des thérapies brèves. Que ce soit lors d’une intervention chirurgicale, pour arrêter de fumer ou pour calmer stress et surmenage, l’hypnothérapeute est en mesure d’aider son patient à aller vers un mieux-être. Il intervient en guidant l’introspection  de la personne et en pointant du doigt des solutions envisageables.

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